Genèse d’un projet : relève journalistique pour Cyclepresse

Les championnats du monde sur route, un incontournable pour notre média. Nous devions nous y rendre, une occasion de suivre nos cyclistes québécois en action à ses championnats et de pouvoir raconter les exploits de ceux-ci.

Matis : un projet

Matis Boyer, a déjà deux collaborations écrites pour Cyclepresse à son curriculum. Il a démontré une grande maturité et une très bonne connaissance du monde du cyclisme. On lui donne un premier mandat : celui du Grand Prix Cycliste de Montréal. Son talent nous étonne, nous épate! On vient de trouver notre équipe pour les championnats du monde sur route!

Début d’un grand projet pour notre jeune équipe. Matis est accompagné par notre jeune mais très expérimenté photographe et vidéaste Vincent Levesque. Il a fait preuve de son talent. Son oeil artistique et son souci du détail se voit dans ses photographies qu’il fait pour notre magazine. Voilà, notre équipe prête à prendre la route. Ils sont motivés, un peu nerveux, voulant montrer leur talent et surtout prouver à tous, qu’ils sont à la hauteur.

Un moment inoubliable, une rencontre fortuite

Notre jeune équipe entreprend leur long voyage vers l’Europe, avion, transfert, train, etc. À bord de ce train, ils font une rencontre dont ils se souviendront longtemps. Les grands-parents maternels du jeune prodige Belge de 19 ans Remco Evenpoel, Eduard Van Eeckhout et Liliane Borremans. Ils échangent avec eux. Ils décident de capter cet instant à la caméra. C’est leur première entrevue dans ce mandat des championnats du monde sur route. Ça débute en force. L’excitation d’avoir réalisé le scoop. Ils arrivent à destination. On prend des photos, on s’échange et on offre l’hébergement à Matis si celui-ci revient en Belgique lors des événements de cyclocross. Une amitié s’est créée.

Gonflé à bloc, ils vont entreprendre une belle et périlleuse odyssée de rencontres, d’entrevues et d’aventures.

REPORTAGE « Matis et Vincent, rencontre Eduard Van Eeckhout et Liliane Borremans».