Vendredi dernier j’étais à Sutton  pour skier sur la poudreuse. Depuis vendredi,  plusieurs skieurs ont dévalés toutes ces pistes remplies de neige et plusieurs pistes ont été travaillées mécaniquement.   Vous pouvez donc imaginer que les conditions ont changé.

Comme à l’habitude j’ai skié un peu partout, j’étais à la recherche de la piste idéale. Eh bien !  Il faut plutôt se diriger vers les pistes bleues et vertes.  Lorsque la neige est aussi légère le vent et le passage des nombreux skieurs et planchiste déplace la neige de surface et la base apparaît.

Le très grand froid de janvier a durci la base et je constate que ce n’est pas possible que la neige tombée vendredi se colle à cette base. Quoiqu’Il en soit c’est tout de même possible à la deuxième descente de la même piste de choisir les meilleures traces.

Regarder les photos que je vous présente vous remarquerez  qu’au passage des skieurs beaucoup de neige est soulevée. C’est bon signe, il y a de l’adhérence à la piste. Cependant il y a des grandes plaques de neige durcie. Et dans le sous-bois, où j’ai skié, il y avait des découverts. Le secret, vous le connaissez, il faut s’assurer que vos skis ont été fraichement  mis à niveau.

Je vous montre la surface enneigée et l’adhérence du skieur !

Encore une photo vous permettant de voir la surface .

Quand même une bonne traînée derrière les skis.

La piste Miracle , les sections plus pentues à surveiller.

Vous pouvez remarquer la neige près des bordures de piste.

La salle des dineurs avec leurs lunchs, dans la partie du bas seulement. La distance de deux mètres est respectée n’ayez crainte. Votre code Q.R. n’est pas nécessaire puisqu’il est déjà sur votre billet ou votre passe.

Je termine en vous disant qu’il arrive que l’on place la barre un peu haute, en se permettant de comparer nos jours de ski.

Aujourd’hui, j’ai mangé mon lunch à l’intérieur, dans la salle du bas. Les tables à l’étage sont réservées uniquement  à la clientèle de la cafétéria.  J’ai remarqué des sacs à l’intérieur de la salle du bas et j’en conclus que j’aurais pu me chausser à l’intérieur.

 

Bonnes descentes

Jules Lincourt

Ski Média